[colored_box bgColor= »#f7c101″ textColor= »#222222″]Cette recension a été publiée dans le numéro 14 de Conflits. Si vous souhaitez acheter ce numéro, rendez-vous sur la e-boutique de Conflits en cliquant ici.[/colored_box]
De Grozny (1994-2000) à Falludja (2004), jusqu’à Mossoul aujourd’hui, la ville s’impose désormais comme l’endroit par excellence de l’affrontement. Dans ce lieu fermé et parsemé d’obstacles de toute nature, l’asymétrie entre les belligérants, caractéristique des conflits actuels, est quasiment gommée et chaque camp recouvre sa capacité à conduire une manœuvre tactique.
Pour combattre depuis les hauteurs jusque dans les sous-terrains, la technologie demeure indispensable même si ses effets sont dégradés. La différence réside alors essentiellement dans la qualité des hommes et des chefs, soulignent les auteurs, praticiens et enseignants de la doctrine de la guerre urbaine au sein de l’armée française. Oscillant entre la perspective historique et le manuel de doctrine, leur ouvrage marque par son aspect synthétique et sa clarté.
H.D.
[colored_box bgColor= »#DCEDC8″ textColor= »#222222″]Frédéric Chamaud et Pierre Santoni, L’ultime champ de bataille. Combattre et vaincre en ville. Editions Pierre de Taillac 2017, 220 pages, 24,90 euros[/colored_box]
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